Ca s'en va et ça revient...
Encore une fois je me saisis de mon clavier plein de traces de doigts dégueu afin de partager avec vous mon interlocking aigu concernant l'étendue des dégâts causés par le passage à l'année 2010 concernant les couples qui se découplent. C'est à dire je me rends compte du taux anormalement élevé de gens autour de moi, dans un cercle plus ou moins proche, certes, qui subissent les foudres de 2010.
(Comment ça ça n'a aucun rapport? Prouvez-le, en attendant ça reste ma théorie).
Oui et d'ailleurs pour en avoir moi-même fait l'expérience (que je ne qualifierais pas de malheureuse exprès), (et bien nan tout compte fait je ne finirais pas cette phrase).
Nan mais z'avez pas remarqué? Sérieusement?
C'est quoi tous ces gens qui se séparent? Rien que dans mon entourage je peux compter 1, 2, 3, 4, 5, voire 6 cas concrets de dépots de bilan, ou au minimum (et là je parle de moi), de grosse remise en question sur tous pleins de points plus ou moins utiles menant à des discussions plus ou moins obsolètes (et longues bordel, pourquoi ce genre de dialogue dure toujours des heures et des jours?) menant inexorablement à la conclusion interrogative du "Va-t'on se séparer?".
Comment voulez-vous que les jeunes comme moi croient encore en l'amour-le-vrai en ayant sous les yeux que des modèles foireux? Mon Dieu la séparation est-elle une fatalité? N'y a-t'il que Caroline et Charles Ingalls qui peuvent s'aimer pour toujours? Sommes-nous d'éternels insatisfaits?
What the fuck les gens?