Faudrait peut-être que je m'y remette?
Oui je sais, ce blog tombe peu à peu dans l'oubli et la décadence, les articles arrivent avec parsimonie, et je ne suis pas non-plus très présente sur vos blogs. JE SAIS. Mais tout ça c'est dans l'apparence, en vrai je suis toujours vivante, sachez-le!
Enfin.
Ca doit être l'hiver glacial qui s'installe et la morosité ambiante qui m'empêche de poursuivre ici de manière décente. On va dire ça comme ça. Sans parler du fait que les hostilités de fin d'années approchent à grands pas (et donc les vacances également) ce qui risque de réduire d'autant plus ma fréquence de publication. M'enfin ne spéculons pas, peut-être aurais-je un sursaut de motivation tout droit sortit de l'inattendu. (La fille qui se ment toute seule).
Voilà, encore un weekend de passé, encore une cuite de passée, et encore une semaine à ronger afin d'atteindre ces foutues vacances. On pourra pas dire que je ne les aurais pas méritées. En tous cas ce qui est sûr, c'est que mon envie d'autre chose, professionnelement parlant, continue de me faire bouillonner. Mon Dieu comment ai-je pu rester ici tout ce temps, à végéter? J'ai la désagréable impression d'avoir laisser filer un temps précieux, en restant baignée dans mon bouillon de sécurité, dangereux mélange d'habitude et de complaisance. Prise de risque zéro. Se satisfaire du nécessaire, akuna matata.
A côte de ça je repense à mes anciens camarades de classe qui, du temps du lycée, semblaient bien moins doués que moi pour les études, mais qui au final, ressortent de la fac avec de belles blouses blanches et un salaire qui commence par un 3.
C'est pas eux qui vont me remonter le moral! ^^
Enfin la route est longue et je ne perds pas espoir de faire mon trou un jour, espérons juste que ce jour ne soit pas trop lointain et que je sois en mesure de m'en donner les moyens.
Rah vivement qu'on soit grands. Ah merde on est déjà grands?