NYC or the dream of my stouf 's life.
C'était sûr ça, je m'en doutais. A peine revenu d'un trip de 15 jours, fallait qu'il me mette l'eau à la bouche, le saligaud. Que de récits alléchants et exaltés à base de "T'aurais vu, le Rockefeller Center, un truc de dingue, ça te retourne le ventre!" ou de "Franchement j'y retournerais, New York, c'est à voir au moins une fois dans sa vie" ou pire encore "Franchement Stèph, vas-y, t'attends quoi?".
Il ne m'en fallait pas plus donc, pour raviver en moi la flamme américaine que je m'étais efforcée d'étouffer pour cause de "pas d'argent à dépenser là-dedans parce qu'on déménage" (phrase carrément usée par mon mec, tellement il l'a rabâchée, pauvre d'elle). Brèf, tous nos projets de voyage newyorkais étaient partis en fumée, la petite Stéphanie s'était faite, tant bien que mal, à la décevante idée de ne pas profiter de la Big Apple, et nous avions donc décidé, d'un pseudo-commun accord, que c'était râpé.
Mais mais mais, il se pourrait bien que mon collègue vienne de changer la donne, puisque fraichement revenu de NYC, il nous en met plein la vue et nous replonge vivement dans ce rêve américain.
Times Square (pour les incultes)
Les célèbres yellow Cabs (pas chers en plus!)
La presque Skyline...
Point de vue, Rockefeller Center... dis-moi pas que ça te donne pas envie.
En conclusion, j'ai bon espoir pour cet été, disons Juin, espérons juste que nous ne regrettons pas de dépenser notre relatif 'peu' de money en la période de crise financière actuelle. Mais malgré cela, je dois avouer que j'aime agir de la sorte, un peu inconsciemment j'entends, au feeling, sans (trop) se soucier de ce qui adviendra. Ce n'est pas habituellement mon mode de pensée, ma philosophie, mais de temps en temps, j'aime à suivre le conseil épicurien d'Horace.
Pas vous?